C'est une star montante de la mode. Originaire d’une petite ville du nord de la Floride, Grace Elizabeth a 17 ans lorsque sa mère envoie des photos d’elle à une agence de mannequins. Peu de temps après, elle passe déjà sa première nuit à New York, loin de chez elle. Puis les propositions déferlent : elle défile pour de grands couturiers, de Miu Miu à Dolce & Gabbana, et apparaît à de nombreuses reprises dans les pages du magazine Vogue.
Aujourd’hui, Elizabeth poursuit sa carrière de top model en tant que nouvelle égérie de la famille Estée Lauder. Elle est belle, c’est certain, mais pas seulement par sa beauté physique.
En savoir plus sur Grace Elisabeth :
Votre mère a été un moteur dans votre carrière de mannequin. Quand avez-vous su que c’était ce que vous vouliez faire ?
Je n’étais pas vraiment sûre jusqu’à ce que je déménage à New York à l’âge de 18 ans. Je partais pour travailler le plus possible et je me donnais six mois pour faire avancer ma carrière. Si je n’y étais pas arrivée, je serais rentrée chez moi et je me serais sans doute consacrée à autre chose.
La femme Estée représente tout ce à quoi j’aspire : sûre d’elle, belle, forte, courageuse et entrepreneuse.
Quand vous êtes-vous sentie mannequin pour la première fois ?
En 2015, lors d’un shooting à Miami Beach pour un magazine australien. Des gens sont restés des heures à regarder la séance photo. C’était assez incroyable !
Vous faites ce métier depuis un peu plus de deux ans. Quelle a été votre plus grande surprise ?
Le fait de pouvoir se rendre dans trois pays et quatre villes en une semaine.
Qu’est-ce que cela signifie pour vous d’entrer dans la famille Estée Lauder ?
C’est un immense honneur de rejoindre une aussi grande marque. Le fait qu’Estée Lauder existe depuis 1946 est très significatif. La femme Estée représente tout ce à quoi j’aspire : sûre d’elle, belle, forte, courageuse et entrepreneuse.
Quel est le meilleur conseil beauté que l’on vous ait donné sur un shooting ?
Le plus important, c’est la base : pour avoir une belle peau, il faut la dorloter.
Qu’est-ce que vous aimeriez que tout le monde sache au sujet du mannequinat ?
Ça exige beaucoup de détermination. Ce n’est pas qu’une question de physique : il faut faire attention à sa santé, parce qu’il arrive d’enchaîner un vol de 14 heures et un shooting de 12 heures. Pour faire correctement son travail, il faut non seulement avoir l’air bien mais, surtout, l’être.
Où allez-vous quand vous avez besoin de faire un break ?
Chez moi, en Floride.
Vous dites que vous faites un bowling à chaque fois que vous rentrez.
Quel est votre score moyen ?
Je ne saurais pas vous dire, mais il m’est arrivé plusieurs fois de faire des triplés (3 strikes consécutifs) !
Que feriez-vous si vous n’étiez pas mannequin ?
Je serais biologiste marin.
Quel est le meilleur conseil que l’on vous ait donné ?
Ne jamais faire ses courses quand on a faim.
Vous êtes une grande fan de rock classique. Comment avez-vous découvert cet univers musical et quel est votre musicien préféré ?
Tom Petty, sans hésiter ! J’ai de beaux souvenirs de ma famille en train de chanter (ou de hurler, pour certains !), de faire des karaokés, de jouer de la guitare sur des morceaux de rock classique, en mangeant des huîtres au coin du feu ou en descendant la rivière en canoë.
Que vous reste-t-il à accomplir ?
Une couverture du Vogue américain, lancer ma collection de denim, sauter en parachute, à l’élastique, faire de la plongée spéléologique et de l’escalade, monter dans une montgolfière et partir en vacances à Venise.
Qu’avez-vous accompli récemment qui vous rende particulièrement fière ?
La signature de mon contrat avec Estée Lauder !